Solenn Colléter Fabienne Ferrère
Solenn Colléter

Bretonne de naissance, toulousaine d’adoption.
auteur de Je suis morte et je n'ai rien appris (Albin Michel 2007).
Ce roman à l’allure (et l’intrigue haletante) de polar bien mené plonge directement le lecteur dans l’enfer du bizutage à l'entrée des grandes écoles en suivant la semaine d'intégration de la jeune Laure, 18 ans, une héroïne forte et fragile.
Une bonne réflexion sur la formation des élites en France et la genèse des totalitarismes, à mettre dans les mains de tous les pré et néo-bacheliers et de leurs parents.

"Je suis morte et je n'ai rien appris" a reçu
* le Prix du Premier Roman du Rotary de Toulouse 2008
* le prix des lycéens du Touquet 2008
* le prix Bernard Palissy des lycéens d'Agen
* Le prix spécial du jury du Prix Monte Cristo, catégorie "émotion", 2008
Native de la région toulousaine, professeur de philosophie.
Auteur d'Un Chien du diable (Denoël), 2005 (existe en poche, 10/18, 2008)

Ce roman de cape et d’épée écrit dans une langue riche et authentique se déroule à Rouen au siècle des guerres de Religion.
Il mêle habilement intrigues politique et religieuse, intrigue policière, vérité historique.
Présentation de l'éditeur
Rouen. Novembre 1594. Ambroise Roquebrune, huitième comte de Bleuse, s'introduit nuitamment dans l'église Saint-Nicaise où il doit récupérer une missive susceptible de jeter au bas de son trône le roi de France, Henri IV. Mais alors que le comploteur se penche sur le parchemin si précieux, une dague lui tranche la gorge et une voix murmure à son oreille : " Maudit, tu n'aurais jamais dû naître. Retourne dans les entrailles de ta chienne de mère... " Peu avant l'aube, on découvre le comte, crucifié et la bouche pleine d'hosties. Sacrilège ! Pis, les bénitiers de l'église Saint-Nicaise sont remplis de sang. Redoutant un nouvel affrontement entre catholiques et protestants, le chancelier d'Henri IV charge un chevau-léger d'éclaircir cette affaire Gilles Bayonne. Ce dernier, doté d'un tempérament trempé comme l'acier de son épée, comprend aussitôt que ce qui se trame à Rouen pourrait tout aussi bien lui valoir la faveur du roi que l'envoyer droit en enfer... Roman d'aventures sur lequel planent les ombres d'Alexandre Dumas et de Paul Féval, intrigue politique et religieuse soutenue par une langue riche et authentique, Un chien du diable mêle admirablement vérité historique et enquête policière.
Une bonne nouvelle : la suite des aventures de Gilles Bayonne, chevau-léger du Roy et enquêteur de choc, c’est pour très bientôt ! (autour de septembre 2009? On verra..)
Lire l'article de La Dépêche, 11 juillet 2008:


Bretonne de naissance, toulousaine d’adoption.
auteur de Je suis morte et je n'ai rien appris (Albin Michel 2007).
Ce roman à l’allure (et l’intrigue haletante) de polar bien mené plonge directement le lecteur dans l’enfer du bizutage à l'entrée des grandes écoles en suivant la semaine d'intégration de la jeune Laure, 18 ans, une héroïne forte et fragile.
Une bonne réflexion sur la formation des élites en France et la genèse des totalitarismes, à mettre dans les mains de tous les pré et néo-bacheliers et de leurs parents.

"Je suis morte et je n'ai rien appris" a reçu
* le Prix du Premier Roman du Rotary de Toulouse 2008
* le prix des lycéens du Touquet 2008
* le prix Bernard Palissy des lycéens d'Agen
* Le prix spécial du jury du Prix Monte Cristo, catégorie "émotion", 2008
Fabienne Ferrère
Native de la région toulousaine, professeur de philosophie.
Auteur d'Un Chien du diable (Denoël), 2005 (existe en poche, 10/18, 2008)

Ce roman de cape et d’épée écrit dans une langue riche et authentique se déroule à Rouen au siècle des guerres de Religion.
Il mêle habilement intrigues politique et religieuse, intrigue policière, vérité historique.
Présentation de l'éditeur
Rouen. Novembre 1594. Ambroise Roquebrune, huitième comte de Bleuse, s'introduit nuitamment dans l'église Saint-Nicaise où il doit récupérer une missive susceptible de jeter au bas de son trône le roi de France, Henri IV. Mais alors que le comploteur se penche sur le parchemin si précieux, une dague lui tranche la gorge et une voix murmure à son oreille : " Maudit, tu n'aurais jamais dû naître. Retourne dans les entrailles de ta chienne de mère... " Peu avant l'aube, on découvre le comte, crucifié et la bouche pleine d'hosties. Sacrilège ! Pis, les bénitiers de l'église Saint-Nicaise sont remplis de sang. Redoutant un nouvel affrontement entre catholiques et protestants, le chancelier d'Henri IV charge un chevau-léger d'éclaircir cette affaire Gilles Bayonne. Ce dernier, doté d'un tempérament trempé comme l'acier de son épée, comprend aussitôt que ce qui se trame à Rouen pourrait tout aussi bien lui valoir la faveur du roi que l'envoyer droit en enfer... Roman d'aventures sur lequel planent les ombres d'Alexandre Dumas et de Paul Féval, intrigue politique et religieuse soutenue par une langue riche et authentique, Un chien du diable mêle admirablement vérité historique et enquête policière.
Une bonne nouvelle : la suite des aventures de Gilles Bayonne, chevau-léger du Roy et enquêteur de choc, c’est pour très bientôt ! (autour de septembre 2009? On verra..)
Lire l'article de La Dépêche, 11 juillet 2008:
"Existe-t-il un lien entre la philosophie et le polar ?
J'en vois deux : la recherche de la vérité et l'interrogation sur l'expérience humaine. La vérité est au cœur de l'enquête et un polar sert vraiment à explorer l'âme humaine."

